Brest, de la répétition à la poétique phonique...

Atelier vidéo intensif L2 deuxième partie : les travaux vidéos des 8 groupes partis à la dérive dans la ville de Brest entre le 25 janvier et le 24 février 2010.
Groupe de travail :
Maïna Banhudo et Maïlys Ferron


«Brest, de la répétition à la poétique phonique...»

En référence à la carte ‘Naked city’ de Guy Debord, nous avons élaboré notre propre déambulation. Nous avons décidé à partir d’un point précis, d’emprunter la première rue à gauche, puis les deux suivantes à droites, ainsi de suite. Nous nous sommes rendues compte, qu’au bout d’une demi-heure, nous revenions à notre point de départ.

Notre première dérive s’est effectuée sur le port de commerce de Brest, pour son aspect industriel. Après les premières observations, la notion de répétition nous est apparue évidente. Afin d’avoir une vue globale de la
répétition dans Brest, nous avons choisie de continuer nos prises de vues au centre de Brest. Nous avons ainsi déambulé deux nouvelles fois.

En observant les photographies, l’idée de les répertorier nous est apparue indispensable. Les motifs et les couleurs, sont les thèmes de deux premiers carnets. Il nous semblait intéressant de classer ces photos, dans un troisième carnet, d’une manière plus sensible et poétique. Pour ce dernier, des images ont été confrontées, et mises en rapport entre elles par des mots. Il s’agit du ‘carnet de poétique phonique’.

Nous avons souhaité concevoir cette vidéo à partir de nos différentes séries. Les images de la ‘série des motifs’, ont servies de support pour le diaporama. Les notions extraites du ‘carnet de poétique phonique’, ont
servies de bande-son. Afin d’obtenir une neutralité dans la voix, le son a été traité par un synthétiseur de voix.
La répétition est omniprésente dans la ville de Brest. La série était le meilleur moyen de classifier les motifs, ou encore les couleurs. Cette répétition crée une monotonie, que l’on a voulu retransmettre à travers notre vidéo. l’outil vidéo utilise, de plus, cette notion de répétition. L’accumulation du son, au fil de la vidéo, renforce cette idée de répétition.

Maïna Banhudo & Maïlys Ferron DNAT2

Commentaires

  1. «Brest, de la répétition à la poétique phonique...»

    En référence à la carte ‘Naked city’ de Guy Debord, nous avons élaboré notre propre déambulation. Nous avons décidé à partir d’un point précis, d’emprunter la première rue à gauche, puis les deux suivantes à droites, ainsi de suite. Nous nous sommes rendues compte, qu’au bout d’une demi-heure, nous revenions à notre point de départ.

    Notre première dérive s’est effectuée sur le port de commerce de Brest, pour son aspect industriel. Après les premières observations, la notion de répétition nous est apparue évidente. Afin d’avoir une vue globale de la
    répétition dans Brest, nous avons choisie de continuer nos prises de vues au centre de Brest. Nous avons ainsi déambulé deux nouvelles fois.

    En observant les photographies, l’idée de les répertorier nous est apparue indispensable. Les motifs et les couleurs, sont les thèmes de deux premiers carnets. Il nous semblait intéressant de classer ces photos, dans un troisième carnet, d’une manière plus sensible et poétique. Pour ce dernier, des images ont été confrontées, et mises en rapport entre elles par des mots. Il s’agit du ‘carnet de poétique phonique’.

    Nous avons souhaité concevoir cette vidéo à partir de nos différentes séries. Les images de la ‘série des motifs’, ont servies de support pour le diaporama. Les notions extraites du ‘carnet de poétique phonique’, ont
    servies de bande-son. Afin d’obtenir une neutralité dans la voix, le son a été traité par un synthétiseur de voix.
    La répétition est omniprésente dans la ville de Brest. La série était le meilleur moyen de classifier les motifs, ou encore les couleurs. Cette répétition crée une monotonie, que l’on a voulu retransmettre à travers notre vidéo. l’outil vidéo utilise, de plus, cette notion de répétition. L’accumulation du son, au fil de la vidéo, renforce cette idée de répétition.

    Maïna Banhudo & Maïlys Ferron DNAT2

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